Un produit ScholarVox CDI

Close

Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louches.
En 1848, sur les barricades du carrefour de Buci et du Palais Royal, Baudelaire est un révolutionnaire exalté et parodique. Il devient, sous le Second Empire, un flâneur nostalgique – « Le vieux Paris n’est plus », déclare-t-il en 1859, dans « Le Cygne », un poème des « Tableaux parisiens » – un flâneur doublé d’un observateur, qui épie les « petites vieilles » à travers les allées du jardin du Luxembourg.
Il aimait le Paris des boulevards, des théâtres, des cafés, le Paris des « multitudes », le Paris de la vie moderne.
Atteint de la « maladie du domicile », il y aura vécu sans jamais s’y établir.

Le Paris de Baudelaire

QRcode

Le Paris de écrivains 17

Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louche

Voir toute la description...

Auteur(s): Guyaux, André

Editeur: Editions Alexandrines

Collection: Le Paris des écrivains

Année de Publication: 2017

Nombre de pages: 113

Langue: lang_fr

ISBN: 978-2-37089-045-0

Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louche

Baudelaire à Paris, c’est d’abord l’enfant heureux de la rue Hautefeuille, où il est né en avril 1821, puis le collégien du quartier Latin qui deviendra un jeune dandy, adepte d’une « vie libre » et fréquentant les milieux louches.
En 1848, sur les barricades du carrefour de Buci et du Palais Royal, Baudelaire est un révolutionnaire exalté et parodique. Il devient, sous le Second Empire, un flâneur nostalgique – « Le vieux Paris n’est plus », déclare-t-il en 1859, dans « Le Cygne », un poème des « Tableaux parisiens » – un flâneur doublé d’un observateur, qui épie les « petites vieilles » à travers les allées du jardin du Luxembourg.
Il aimait le Paris des boulevards, des théâtres, des cafés, le Paris des « multitudes », le Paris de la vie moderne.
Atteint de la « maladie du domicile », il y aura vécu sans jamais s’y établir.

Voir toute la description...

Découvrez aussi...